Pour l'eau. Je ne suis tranquille pour rouler que si j'ai au moins quatre litres. A l'approche du soir, il me faut le double.
Il m'est arrivé de demander de l'eau lorsque je trouve des gens arrêtés sur un parking. Souvent, ils m'en proposent spontanément. Et même parfois de la glace. Par la suite j'ai acheté des bouteilles Thermos pour garder du frais ou du chaud. Le luxe.
Et puis en voyant le nombre de bouteilles jetées sur le bas côté de la route, j'en ai remarqué une, puis deux, puis trois, etc. Qui n'étaient pas ouvertes. Des bouteilles neuves. L'aubaine. J'ai désormais tjs un œil qui traine sur le bas côté de la route et je trouve chaque jour entre 0,5 et 1 l d'eau en bouteille scellée dont je me sers pour cuire mon diner.
Je ne sais pas encore pourquoi les gens se débarrassent de bouteilles neuves, je cherche.
Pour l'ombre, pas tjs évident. Mais en cas de besoin le vélo avec tout son bazar m'offre un abri, certes modeste a midi, mais c'est déjà ça !!
Et voilà comment se passent 700 km californiens de Los Angeles a Parker (ville frontière entre la Californie et l'Arizona). Pour les photos des splendides étendues désertiques le long de la "29 palms highway", parcourez l'album USA que j'ai mis en ligne sur le serveur de Flickr : cliquez sur http://www.flickr.com/photos/grui_grui/ |